Biographies

Type d'édifice: Département:



Montmorency
Type d'édifice : Chateau fort | Crée le : 20/02/2011 à 21:54 | Auteur : franck | Département : 95.

MONTMORENCY (95)

Château fort des Ducs de Montmorency

 

 

I Résumé :

 

Le château fort des Ducs de Montmorency, famille très puissance dont il ne reste aujourd’hui que la motte castrale occupée par le lycée Turgot et le souvenir d’un double donjon sur une gravure du début XVIIIs.

 

II Situation géographique :

 

 

 

III Contexte géopolitique et historique :

Olivier NICOLAS (2011)

 

Les origines :

Bouchard le Barbu

Montmorency est intimement liée à la châtellenie de Bray-sur-Seine, en Seine-et-Marne, citée pour la première fois en 958 dans une charte qui confirme l'appartenance de ce domaine à certain Bouchard, baron de Bray et vassal du comte de Champagne dans cette région du Sénonais.

La baronnie de Bray est positionnée sur un axe stratégique, celui de la voie allant de Sens à Meaux, sur le fleuve Seine. Cette famille est à rattacher très probablement à la puissante famille de Montlhéry.

Nous sommes à la toute fin du Xe siècle, plus exactement en 996. Hugues Capet, fondateur de la très prestigieuse lignée des rois Capétiens vient de rendre l’âme. Son fils Robert le Pieux lui succède au trône de France.

Ce dernier, soucieux de s’attacher les bons services des barons d’Ile-de-France et de faire régner un climat de sécurité dans ce royaume naissant, reconsidère les positions et les possessions de chacun de ses vassaux, et notamment du baron de Bray, un certain Bouchard le Barbu.

Il en va de même pour un certain Thibaud File-Etoupe, qui s’est vu offrir quelques années auparavant (vers 991) la terre de Montlhéry des mains d’Hugues Capet. Ce Thibaud serait à priori issu d’une ramification de la famille de Montmorency…

Mais revenons à notre Bouchard le Barbu qui nous intéresse tant.

Celui-ci, non content d’être baron de Bray, l’est également de Château-Basset et possède à cet effet le Châtellier de l’Isle-Saint-Denis (disparu). Bouchard avait épousé une certaine Idelinde, veuve du chevalier Hugues Basset, qui lui avait apporté le fief.

Bouchard vit là une opportunité très intéressante de se payer des droits de péage sur la Seine, au détriment des abbés de Saint-Denis, proches voisins, mais également proches du pouvoir royal. Le différend fut porté en haut lieu et la sentence tomba en 998 : Bouchard fut "exproprié" du Château-Basset. La compensation fut à la hauteur de la confiscation. Il lui fut concédé le fief de Montmorency, siège d’un puissant château-fort dès cette époque.

C’est là la naissance de la baronnie de Montmorency, positionnée sur un promontoire commandant la région Nord-Ouest de Paris.

Mort vers 1020, Bouchard laisse la place à quatre fils : Bouchard, Eudes, Albéric et Foucaud.

 

Les charges :

Connétables et Bouteillers

C’est en 1060, sous le règne d’Henri, puis de Philippe de France (1060-1108) que les barons de Montmorency sont reconnus comme "Puissants".

Albéric (Aubry) de Montmorency devient le premier Connétable des rois Capétiens, tandis qu’Hervé de Marly (branche cadette) est Bouteiller du roi de France.

Ces grandes Charges sont indissociables du pouvoir royal. En tant que Connétable, Albéric est le chef de l’ost royal, tandis que le Bouteiller administre les vignobles du domaine.

La baronnie de Montmorency donna au royaume de France six connétables, douze maréchaux et quatre amiraux.

 

Bouchard IV

Vers 1080, une affaire de succession oppose Bouchard IV de Montmorency à son beau-frère Mathieu, comte de Beaumont, possesseur de la Tour Montjoie, à Conflans-Sainte-Honorine.

Lors de cette guerre, Bouchard, qui revendique sa part du domaine de Conflans, assiège le château-fort de Montjoie et l’incendie. Les reliques de Sainte-Honorine sont alors sauvées in extremis. Le château est immédiatement reconstruit en dur. C’est toujours celui que l’on peut apercevoir au confluent de la Seine et de l’Oise.

En 1119, il participe à la déroute de Brémule face aux troupes normandes d’Henri Beauclerc. Bouchard est fait prisonnier.

 

Mathieu Ier

(d’après Gérard Ducœur)

Sans qu’aucun exploit guerrier particulièrement remarquable ne vienne justifier cette nomination, Louis VII le Jeune (1137-1180) lui confie la charge de Connétable dès son accession au trône. Dès lors, l’ascension de Mathieu Ier ne fait que se confirmer.

Veuf d’Aline d’Angleterre, il épouse en 1141 Adélaïde de Savoie, elle-même veuve de Louis VI. Mathieu Ier devient donc beau-père du roi Louis VII.

Lors de l’assemblée d’Etampes, en 1146, qui décide de la participation du roi à la deuxième croisade et qui établit en son absence l’organisation administrative du royaume, l’abbé Suger, la reine Adélaïde, Galeran II, comte de Vermandois, et Mathieu Ier forment le conseil de régence. Au retour du roi, en 1149, Mathieu Ier reprend sa place auprès de lui et l’accompagne dans nombre de ses déplacements.

À sa mort en 1160, la châtellenie de Montmorency est devenue une importante seigneurie. Son titulaire revendiquera le titre de baron, voire même celui de Premier baron de France.

 

Bouchard V

Mort en 1189 en Terre Sainte, lors de la Troisième Croisade. Son fils Mathieu II lui succède.

 

Mathieu II

Mathieu de Montmorency prend part à toutes les guerres jusqu'au 27 juillet 1214, date de la célèbre bataille de Bouvines.

C'est lors de cette bataille qu'il accomplit l'exploit de s'emparer, au plus fort du combat, de douze bannières ennemies, qui lui permit de rajouter douze alérions (petits aigles en héraldique) à ses armes. Quant à la croix rouge, au centre du blason, la légende nous raconte que c'est le roi lui même qui la traça avec le sang de Mathieu.

Ce haut fait d'armes explique les armes des Montmorency, qui portent "d'or, à la croix de gueules, cantonnée de seize alérions d'azur".

A la mort de Dreux IV de Mello, connétable de France, c'est tout naturellement que Philippe Auguste nomme Mathieu Connétable à son tour. Cette même année, il épouse Emma, fille du sire Guy de Laval. Cette union est à l'origine de la très prestigieuse famille de Laval.

La croisade contre les Albigeois et le comte Raymond VI de Toulouse, commencée en 1209, durait toujours lorsqu'en 1215. Mathieu se joignit aux croisés et trouva plus d'une occasion de signaler son courage. Pendant cette campagne, il réhaussa en maintes occasion l'éclat de son titre de connétable et en fit la première dignité du royaume.

Sous le règne de Louis VIII le Lion, Mathieu jouit de la plus grande autorité. Il seconda le roi dans le projet qu'il avait de chasser de France les Anglais. Alors que Louis VIII combattait les Albigeois, c'est lui qui était à la tête de l'armée royale contre les Anglais.

Il porta ensuite assistance au roi de France dans sa lutte contre les Cathares. Mathieu marcha contre eux et les combattit jusqu'à raccommodement qui eut lieu en 1226. Louis VIII n'existait déjà plus : à l'approche d'une mort prématurée, ce monarque, plein de confiance dans les talents et la fidélité de Montmorency, lui avait instamment recommandé son fils encore en bas âge.

Mathieu jura de soutenir l'enfant de son roi et de verser pour lui s'il le fallait, jusqu'à la dernière goutte de son sang. II eut bientôt l'occasion d'accomplir son serment quand les grands vassaux de la couronne crurent pouvoir profiter de la minorité du roi et de là régence d'une femme. Mais l'intrépide Blanche de Castille, aidée des conseils du légat du pape et surtout de l'épée de Montmorency, les réduisit à l'obéissance et conserva dans toute son intégrité le pouvoir de son fils.

 

Les Continuateurs

Anne de Montmorency

Né à Chantilly en 1493, il sera Duc de Montmorency, Grand Connétable et pair de France. Cet homme extrêmement puissant, qui symbolisa la Renaissance française, fut un ami intime de François Ier.

Henri de Montmorency

(1534-1614) Connétable de France, sa fille Charlotte-Marguerite, épouse d'un prince du sang, Henri II de Bourbon-Condé, fut à 15 ans le dernier amour d'un Henri IV vieillissant.

Henri II de Montmorency

Amiral et maréchal de France, gouverneur du Languedoc et vice-roi de Nouvelle-France, fut exécuté en 1632 pour conspiration contre Louis XIII, sur l'ordre de Richelieu. Les terres de la seigneurie de Montmorency passèrent alors à la Maison de Condé.

Henri Jules de Bourbon-Condé

En 1689, il fait renommer le duché de Montmorency en duché d'Enghien.

 

       IV Héraldique :

 

 

Les armes des Montmorency se blasonnent ainsi :

  • D’or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d’azur ordonnés 2 et 2.
  • Apparu dans la seconde moitié du XIIe siècle, il ne comportait à l’origine que quatre alérions, petites aigles - féminin en héraldique - sans pattes ni becs de couleur bleue. Les douze autres furent ajoutés au lendemain de la victoire de la bataille de Bouvines, le 27 juillet 1214, après que Mathieu II de Montmorency eut enlevé douze bannières à l’ennemi. La croix rouge aurait été tracée par le roi Philippe-Auguste avec le sang de Mathieu II, qui fut blessé au cours de la bataille. En héraldique, le gueules est la couleur rouge.

 

V Plan des lieux :

 

Plan du début XVIIs (vers 1610)

 

Plan (croquis visuel sans mesure) réalisé en juin 2010, suite à une visite sur place avec M. Olivier Nicolas.


 

VI Descriptif  du site:

 

1 Château Fort des Ducs de Montmorency :

 

Situé entre les rues de l’église, saint Martin et de la Fontaine, le château fort aujourd’hui se présente sous la forme d’une grosse motte oblongue. Dans sa partie Est, une large basse cour fait front et donc l’accès se fait par un pont dormant du XVIIIs remplaçant sûrement un pont mobile. Depuis 1950, le lycée Turgot occupe l’emplacement du château fort (haute et basse cour) ainsi que différents habitats venus se greffer au pied de la motte castrale.

Extrait du cadastre du XIXs

1-1) La Bayle

 

Occupé par le centre administratif du lycée Turgot, la basse cour se divise en trois partie ;

 

- la première cour entre les rues de la Charrette et au Pain. A une de ces extrémités, une église d’origine romane dite de Notre Dame conserve une tour clocher en roussart à fenêtres géminées. Cette église devait correspondre à la chapelle castrale des XI-XIIs puis devint sûrement paroissiale au XIIs.

 

- la seconde cour actuellement occupée par un château XVIIIs, entre les rues Saint Victor et de la Fontaine est un large terrassement d’environ 50 x 70m.

 

 

- la troisième cour, dans le prolongement de la seconde, de niveau plus bas, a servi  d’enclos fortifié à un quartier de la ville médiévale (XIII- XIXs). Cette cour a été fouillée de février à juillet 2010. On y trouve les restes de maisons, de puit, de caves des XIIIs au XVIIs avant l’édification d’une vaste propriété au XIXs. Cette cour a été séparée de la seconde (dont elle fait partie intégrante) lors d’un morcelage de propriété sûrement à la fin du XIIs.

 

a) La chapelle castrale Notre Dame :

 

L’église Notre Dame datée des XI- XVIIs, possède une tour clocher du XIIs qui semble avoir joué un rôle dans la défense du château. Se situant à la limite de la première basse cour jouxtant l’enceinte urbaine, il a du joué le rôle de chapelle castrale au commencement du château.

 

b) L’enceinte :

 

Un reste de mur d’enceinte est visible rue de la Fontaine, de même facture que l’enceinte urbaine (type de matériau et liant). Il est conservé sur environ 8m de long, pour une hauteur de 1,5m.

 

1-2) La Haute cour

 

Lithogravure du début XVIIIs

Même prise de vue aujourd'hui sans les vestiges du château fort

 

a) Le donjon carré roman :

L'implantation du donjon carrée est discernable à la pointe Nord de la motte sur une légère prééminence. On discerne au sol les fondations de 2 murs de 1,5m d’épaisseur, le plus long faisant 11m (Est) et le plus court faisant 8m (Sud). Les autres côtés ne sont pas visibles car ils sont intégrés avec le mur d’enceinte Nord. Une tour rectangulaire creuse (2x6m environ) est plaquée contre son mur Nord, elle doit faire office de tour des latrines (de même facture que celle du donjon roman de Montfort l’Amaury dans le 78) ou d'escalier. Dans les années 60, les enfants jouaient sur les restes du donjon roman, et il paraît d’après le proviseur Mme Schindler qu’il y aurait une salle basse sous le tertre du donjon roman. Ce donjon est datable des années 1100.

Lithogravure des 2 donjons (XVIII // XIXs)

Vue sur le mur Sud (en bas et à gauche)

Emprise du donjon carré (en bas mur Ouest)

Détail sur le mur Est du donjon

2 Photographies de la tourelle rectangulaire d'escalier, vu depuis le haut des remparts

 

 

b) Le donjon circulaire du XIIIs :

 

L'implantation du donjon circulaire est discernable au Sud du donjon carrée et aujourd’hui plus rien n’est visible au sol. Son implantation et ses restes ont été rasés lors de l’extension de salles de classe en Aout 2010 sans aucune action de la DRAC, malgré notre de demande de surveillance (refusée par celle-ci) et la présence de la société EVA qui faisait les fouilles de la 3ièmebasse cour. Ces restes, s’il y en a encore ainsi que ceux du donjon roman ne sont plus accessibles actuellement.

Lithogravure du XVIIIs

Emprise du donjon circulaire, à droite mur XVIII-XIXs avec poterne (avant travaux, cette zone n'existant plus aujourd'hui)

 

 

c) La motte castrale :

 

Cette motte castrale de forme oblongue a des dimensions d’environ 120m de long pour 100m de large et une hauteur estimée à 10m. Dans sa partie haute, on discerne les restes d’une enceinte avec les vestiges d’un bastion (Ouest), celle-ci semble datable des XV-XVIs. Le lycée Turgot a effacé les restes des vestiges du château, comme les communs et logis des XVI et XVIIs, l’enceinte XIIIs avec son châtelet et la chemise du donjon roman (voir plan du début XVIIs).

 

d) La grosse tour circulaire basse :

 

Cette tour d’un fort diamètre, visible sur les plans du XVIIs, a été retrouvée lors de fouilles effectuées dans les années 1900. Son implantation et ses restes sont visibles dans une propriété privée rue de l’église.

 

e) La collégiale Saint Martin :

 

Cette magnifique collégiale des XVI et XVIIs a servi de dernières demeures pour les seigneurs de Montmorency. Cette collégiale a été bâtie sur les restes d’une église plus ancienne (XIIs ??) et a du servir de chapelle castrale, mais à quelle époque ??.

Détail du mur entourant la collégiale et se raccordant à l'enceinte urbaine

 

 

f) L’enceinte :

 

La motte castrale est ceinturée en partie basse d’une enceinte ovolaire en partie conservée. On discerne plusieurs caves venues s’intégrer dans la motte mais une ouverture semble plus ancienne. Cette ouverture pourrait être une poterne des XII-XIIIs, permettant une liaison entre la motte castrale et la ville pour une évacuation rapide. Cette poterne dont seul le haut est dégagé, est renforcée de contreforts plats saillants.

Accès actuel à la haute cour (motte) et pont dormant XVIIIs

  

Détail de la dite poterne et d'un contrefort

 

1-3) Conclusion

 

Peut on certifier que ce lieu cela correspond à la zone première d’implantation du château fort de Montmorency. Je n’en suis pas convaincu car il existe une rue du Mont Louis qui d’après son nom pourrait correspondre au château fort des roi de France (Robert II puis Louis VI le gros) aux XI et XIIs. Pourquoi le Mont Louis comme une toponymie du mont comme une motte et Louis pour le roi de France Louis VI. De plus JJ Rousseau habitant une propriété rue du Mont Louis, n’avait il pas un pavillon de travail appelé le petit donjon ??

Je vais partir sur cette hypothèse et vous décrire au fil des rues concernées les vestiges probables du château fort des roi de France, plus haut que celui des Bouchard de Montmorency.

 

 

2 Le château fort du roi Louis VI dit le gros :

 

2-1) La basse cour

 

La basse cour ou Bayle devait correspondre à la zone entre les rues Bague et du Mont Louis. Ces rues de formes curvilignes sont encloses de mur en petit appareil (roussart) sur tous leurs pourtours. On voit à leur jointure Sud (Placette Jonvelle) une vaste cave pouvant être la salle basse d’une tour ??.

Un peu plus au Nord, le long de l’enceinte urbaine rue Saint Jean, on découvre la place du château Gaillard. Nom évocateur d’une fortification type bastille (défense avancée) ou rappel en cet endroit d’un château fort. Il est intéressant de remarquer que d’après le plan de l’enceinte urbaine, la place concernée se trouve en dehors de celle-ci.

Détail extérieur et intérieur de la cave (salle basse)

 

 

2-2) La Haute cour

La haute cour est située entre les rues du Mont Louis, de la Grille et de JJ Rousseau. En son centre, il devait y avoir une motte castrale dont la forme des rues décrites précédemment l’évoque. De nos jours il reste seulement une propriété dite maison de JJ Rousseau mais qui me parait être fort différente de celle d’origine (voir lithogravure). Au XVIIs, cette maison de forme rectangulaire possédait de larges contreforts saillants. De plus, il existait à l’Ouest de cette propriété, un petit pavillon appelé le « petit donjon », peut être la réminiscence d’un souvenir lointain.

Fouilles en limite de la propriété "J-J Rousseau"

 

Maison de JJ Rousseau au XVIIIs et en 1950, que de différence

 

3 Enceinte urbaine :

 

En cours d’écriture, elle fera partie d’une biographie spécifique avec l’intégration des édifices religieux comme la commanderie templière, le couvent et la chapelle saint Jacques.

 

 

VII Remerciement:

 

Un remerciement tout particulier au proviseur du lycée Turgot Mme Schindler pour nous avoir permis de visiter ces lieux.

 

 

VIII Index et bibliographie :

 

1) Livres :

 

- Donjons romans des pays d'Ouest: André Châtelain- 1973.

- Châteaux forts "images de pierre des guerres médiévales": André Châtelain- 1983.

- Châteaux et enceintes de la France médiévale, de la défense à la résidence, tome I "Les organes de la défense": Jean Mesqui- 1991.

- Châteaux et enceintes de la France médiévale, de la défense à la résidence, tome II "La résidence et les éléments d'architecture": Jean Mesqui- 1993.

- Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen en France: Charles-Laurent Salch- 1979 (red. 1987).

- Demeures médiévales "coeur de la cité": Pierre Garrigou Grandchamps- 1999.

- Les Cisterciens: Julie Roux- 2003.

- Pour comprendre les monuments de la France: J.A. Brutails- 1997.

- L'héraldique: Claude Wensler- 1997.

 

- Châteaux forts et féodalité en Ile de France du XI au XIIIs: André Châtelain - 1983.

- Le patrimoine des communes des Yvelines: FLOHIC - 2000.

- Guide DESLOGIS-LACOSTE "Val d’Oise" 95: Michel de le Torre - 1999.

- Le guide du patrimoine "Ile de France": J-M Perouse de Montclos - 1994.

- L'Ile de France des châteaux forts: Christian Corvisier - 2004.

- Ile de France Gothique 2 "les demeures seigneuriales": Jean Mesqui - 1988.

- Dictionnaire des châteaux de France "Ile de France": Yvan Christ - 1978.

 

 

2) Sites internet :

 

 

 

lien vers le diaporama;  Montmorency


< Retour